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Entre l'envie et la vraie vie ya (plus) la distance...

7 juillet 2006

Réveil au milieu de la nuit, un "poème surgit".

Au milieu de la nuit je me réveille,

Mes yeux trahissent mon sommeil.

Je pense à toi si fort, et de toi j'ai envie, encore...

Par raison, et aussi par dépit, je me rendors.

Dans quelques jours, je sais que dans mes bras, je te serrerai fort!

Je t'aime toi ma douce et tendre....

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7 mai 2006

Concert (suite)



Hum... J'aurais préféré qu'on l'écrive de concert (justement ! hahaha.. ahem) cet article, mais un certain monsieur LeNeuf, dont l'accès internet commence sérieusement à se faire désirer, m'oblige à mettre en veille mes espoirs de bientôt pouvoir partager en direct-live ce blog avec toi.
Alors tant pis! Je commence seule, tu me rejoindras (et corrigeras) en cours de route ;o)




        Concert de quoiii ? me demande lukxis. Concerts de qui plutôt :o)
Le pluriel n'est pas de trop, ce n''est pas moins de cinq artistes et groupes français qui se sont succédés devant nos yeux ravis tout au long de la soirée!

Au programme les sept déchainés de Debout sur le Zinc, l'homme en rouge monté sur trampoline Aldebert (spécial coup de coeur de barnaé) et sa bande de musiciens, le tranquille Da Silva, Mickey 3D plus efficace que jamais, et les Têtes Raides, si "révolutionnaires" qu'ils en sont limites décevants, eux... (Enfin ça c'est notre avis, peut être n'avions nous pas assez fumé ni bu pour profiter de leur prestation dans les meilleures conditions... Alors on ne peut s'en prendre qu'à nous même :o| ) (


        Et là je vous entend déjà... Mais qui sont ces gens
?? A part Mickey 3D que tout le monde a sûrement déjà eu l'occasion d'entendre, ces formations ne sont pas parmis les plus connues...
Et pourtant la plupart d'entre elles existent depuis un sacré bout de temps et sont loin, très loin, d'être dépourvues de talent... Et avec ça ils possèdent une énergie et un charisme sur scène tout simplement .. pfiou .. irracontables oO En gros, il mettent le feu !!

N'hésitez pas à visiter leurs sites officiels (que j'me sois pas décarcassée à mettre des liens pour rien, au moins :p) et à aller les voir s'ils passent près de chez vous :o)



6 mai 2006

Concert


Quelque part à Strasbourg, le 29 avril 2006 aux environs de 17h.


stras290406


(Cherchez pas, on est pas sur la photo :p).


A suivre...

1 mars 2006

Coup de coeur



avecuncielpareil





Avec un ciel pareil, si j'avais pas autant sommeil,
J'écrirais bien une chansonnette, sur notre amourette.



J'remonterais à notre rencontre, à tes mains moites sur mes joues rondes
A nos regards encore étrangers, qui font l'amour un peu gênés.

J'dirais qu't'on sourire c'est ton visage, que t'as pas une ride de nuage,
Que t'es la chaussure à mon pied, enfin ce genre de banalités...

J'dirais comment tu m'reconstruis, quand mon puzzle est en fouillis,
J'dirais ta bouche, j'dirais tes yeux, mais t'inquiète j'n'en dirais pas mieux...



           ... Pour cette chanson des Tits Nassels, Jean-Parle.
Ils en parlent drôlement bien, je trouve.

27 février 2006

Et de sept ...

 

Bien sûr après ce quatrième retour, il y eu un cinquième, puis un sixième, tout deux courant janvier. Tout deux aussi frustrants l'un que l'autre : un peu plus qu'un week end à chaque fois, c'est tout ce qu'on peut se négocier pour l'instant...

Mais... il y a un mais. Un mais qui s'appelle "Vacances scolaires d'hiver". Un mais providentiel, qu'on s'est bien appliqués à exploiter au mieux.
Me voilà donc repartie ce 10 février pour mes six heures et des brouettes de train jusqu'à chez toi, avec quinze jours de petites culottes dans mes valises. Euh non.. en fait ça c'était pas techniquement possible :X Heureusement que les laveries existent tiens. Heureusement qu'elles sont là aussi pour atténuer la faible impression d'exil et de voyage que j'ai en te rejoignant, et pour accentuer l'autre impression, bien plus forte, celle d'habiter réellement chez toi, chez nous. Mais ce n'est encore qu'un autre mini-déménagement provisoire. Provisoire et récurrent. Récurrent mais pas récursif. Récurrent en attendant d'être définitif.

Comme à chaque fois (ou presque :p) tu es là pas trop loin quand je m'extirpe du train. Je me suis surprise les dernières fois à te chercher fébrilement du regard sur le quai, et à sursauter inutilement à chaque fois que je croisais l'ombre d'un bouc sur un visage :S Du coup je m'efforce d'être un peu plus patiente et de laisser le temps à la foule de se disperser si je ne t'aperçois pas de suite. Mais ce serait prendre le risque de gaspiller dix ou quinze secondes sans chercher à me jeter dans tes bras... Et voui, dix ou quinze secondes d'un long week end de quinze jours,  ça vaut le coup d'un petit dilemme de ce genre ^^ :p

Mais tu me retrouves vite. Une douceur, une tendresse infinie, c'est la première impression que j'ai de tes baisers et de ton étreinte. Le ton est donné.
J'ai du mal à croire que je vais devoir repartir, je ne daigne même pas m'éterniser à y penser, cette fois. On a quinze jours! On a jamais eu autant de temps à nous, et ce n'est pas maintenant que j'ai envie de laisser l'idée de ce qui se passera dans deux semaines me chagriner. 
Mais voilà, ces quinze jours me paraissent en avoir duré trois ou quatre à présent. Le temps, comme d'habitude, s'est paisiblement écoulé, en se foutant joliment de la vision altérée que les amoureux ont de son cours.

Quinze jours de bonheur, quinze jours des balbutiements d'un CDI de vie commune, quinze jours formidablement normaux, emplis de grands éclats de rires et de petites vexations, de grandes expériences culinaires et sportives, de multiples petites découvertes de l'un sur l'autre et de l'autre sur l'un, d'apprentissage mutuel, quinze jours de bonheur quoi (je me répète?)... Quinze jours comme je n'en espérais même pas et comme je n'en ai sans doute jamais vécus. Mais quinze jours écoulés. Déjà :S
Je suis rentrée et je regarde autour de moi. Je me dis qu'il manque des montagnes tout autour, que notre appart est exagérement grand, que ma chambre d'ado a autant d'âme qu'un chewing-gum incrusté sur le trottoir (et pouêt! vive les images hasardeuses de milieu de nuit!) comparé à notre tout petit chez nous, là bas...


                                                         ~~~~~


Le week-end prochain tu iras voir ton fils, il aura encore grandi, il dira probablement bien plus de choses que ce  que rapportait ma dernière note, tu le mitrailleras à nouveau de photos, et tu m'en parleras au téléphone. Et on seras émus, et je m'en voudrai un peu, beaucoup, et j'essaierai de relativiser...

Et celui d'après de week-end? Un huitième aller-retour, avec un peu de chance. C'est loin... C'est dans moins de quinze jours pourtant!
 

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17 janvier 2006

Le Départ



Je sais, elles datent un peu ces "notes".
Et je zute ceux qui trouvent que je n'aime rien et que je dis trop souvent "je" :x :)


Nous sommes la veille de Noël ; je suis dans le train ; midi sonne ; j'écris.

Je n'aime pas ça.
Je n'aime vraiment pas ça.
C'est maintenant le quatrième, je devrais, je pourrais m'y habituer à force.
Je n'aime toujours pas ça.
   
    Il y a eu la nuit, la dernière, où je m'endormais sereine, un peu difficilement, mais confiante. Confiante dans le lendemain, espérant me réveiller fraiche et dispo, prête à profiter pleinement d'une dernière matinée.
     J'ai envie de soupirer. Envie d'évacuer ce noeud qui commence à s'installer dans ma poitrine. Mais je ne veux pas te troubler. Je ne veux plus déranger cette paix du sommeil qui s'apprête à prendre possession de nous.
J'essaie de toujours prendre le temps de t'écouter plonger dans ce sommeil avant moi. Ecouter ta respiration devenir de plus en plus profonde, devenir ronflement, léger d'abord puis de plus en plus sonore, tandis que tes membres sont agités de soubressauts. J'ai la vague impression que tu te débâts contre le sommeil qui t'envahit... A moins que tu ne te débâttes pour l'atteindre... Peu importe, tu t'apaises peu à peu, ton souffle se fait silencieux et ton corps s'alourdit.
C'est à ce moment là que je m'endors.

     Puis il y a le réveil. Pénible. Je suis tiraillée entre l'envie de dormir encore et d'oublier que l'on est aujourd'hui, l'envie de me lever, de m'activer, de ne pas perdre de temps pour croquer les premiers rayons de soleil dehors, l'envie de te réveiller aussi...
C'est toujours la première de ces solutions qui m'emporte, qui nous emporte. Paressons, on se lévera bien assez tôt.
Je ne veux pas me lever aujourd'hui.

Je n'aime pas ça.
C'est le quatrième déjà, le quatrième de ces réveils-là.


     Je sors juste de la douche quand tu ramènes ton fils.
Je m'habille, il gazouille. Ses yeux bleus rient et dévorent tout ce qui l'entoure. Il a grandi encore: sa petite tête tient déjà moins du bébé et plus de l'enfant. Sa main tâte maintenant, plus qu'elle ne serre. Et il sait dire "Maman". Il le répète en grognant quand il pique une petite colère.
     J'imagine la mère en question lui apprendre ce mot. C'est toujours, ou presque, le premier (il est vrai que le héros du Parfum a dit "poisson" lui... m'enfin ce n'est qu'un roman). J'imagine son sourire fier et triomphant les premières fois que ces syllabes sortirent distinctement de cette petite bouche rouge. J'imagine son attendrissement lorsque le poupon traduit ce "ma" et ce "man" en un appel, une réclamation impérieuse...

Je pleure, je râle, je dis "Maman". Je me fous qu'elle ne soit pas là. Je ne sais simplement pas encore dire autrement que j'ai besoin de vous.
Bref, je communique.

Je n'aime pas tant imaginer tout ça... D'ailleurs si ça se trouve j'imagine mal. Pis j'aimerais mieux qu'il dise "Papa".

    J'émerge. Je me met à réunir mentalement les affaire à emmener. Ca ira vite. Il n'y a pas grand chose et j'ai mes marques à présent. Je dois m'habituer...

Ya pas à dire je n'aime pas ça.

J'embrasse la pièce du regard pendant que nous petit-déjeunons. Je m'imprègne de ta présence. Difficile de s'en imprégner davantage Oo
Bien sûr, j'ai envie de rester. De m'occuper du ptiot, de m'occuper de nous. De nous aérer, de profiter de cette belle journée avec vous deux. Pas le temps. Je range mes affaires, ferme ma valise.
Tu habilles ton fils. Nous n'avons pas trop de temps à perdre en derniers calins. Tant pis, en voiture tout le monde!

    

     C'est vraiment une belle journée qui se prépare ici.
De la brume sur les montagnes. Les rayons du soleil glissent dessus et m'éblouissent. J'en profite encore les quelques minutes du trajet jusqu'à la gare. "Sois pas triste!". Je suis triste, c'est comme ça. Je me force à sourire quand tu me regardes dans le rétro.

Je sais bien que cette fois peu de temps nous sépare. Quatre pauvres nuits.
Je n'ai seulement pas envie de les passer loin de toi. Seulement pas envie d'affronter le regard de la famille, les remarques acérées de ma mère qui, en bonne mère, se rend compte que sa fille peu à peu lui échappe, que sa fille n'est plus autant à elle qu'autrefois et qu'elle le sera de moins en moins.

Je n'aime pas ça non plus.
C'est mon quatrième retour, aussi...


    
Nous y sommes. Tu me déposes juste, tu fumes (RAAAAAHH !! Que je n'aime pas ça ! ... oups :x), tu m'embrasses, tu me fais sourire. Tu ne peux toujours pas m'accompagner au quai, ce n'est pas cette fois le boulot qui t'attend, mais le bib de Wan. C'est pas grave va.
On se revoit dans quatre petits jours. Pourtant j'ai l'impression de t'abandonner. Généralement ce n'est pas moi qui ai cette impression-là...

Je dois y aller, je n'aime pas ça.
Allez go!

24 décembre 2005

Mises à jour ( -Annonce des futures )

   

Nous privés l'un de l'autre, puis toi privé d'internet, nous étions plus ou moins forcés de laisser cette ébauche de blog à quatre mains en plan. Sans ta présence sur la toile, je ne voyais pas bien l'intérêt de continuer à soliloquer ici... Mais passé quelques mois, tu m'as demandé de continuer. C'est idiot après tout de laisser jaunir cette page... Elle est toujours aussi vraie, malgré ses deux seuls pauvres articles (pauvres? :p) et  cette longue période de jachère. Elle l'est encore davantage aujourd'hui. J'ai donc acquiescé... Continuons.

Les deux mois qui suivirent ta dernière (et première, tiens) note furent chargés. Chargés d'épreuves, de décisions, de changements... Chargés de manque aussi. Des semaines d'éloignement longues et pénibles.
Encore plus pénibles maintenant que je les vois "de loin", depuis les petits ilôts de bonheur que nous arrivons à présent à nous ménager régulièrement sur le calendrier. Des semaines décisives. Il y a de quoi en écrire des articles...

Mais j'y raconterai (on y racontera?) déjà bien assez tôt. Place au présent et aux tous derniers moments...

11 août 2005

Introduction



   
Voilà, il paraît qu'ici c'est 'notre' blog, à toi et moi :-)

Un peu à défaut de partager davantage, on partage un blog (certains me diront, c'est déjà pas si mal... mpf).

Brève introduction, un texte écrit à la-va-vite histoire de tenter de récupérer un peu de sang-froid ce fameux jeudi 28 juillet vers les onze heures-minuit... la veille oui ;-)... et gardé jusque là sur un autre blog. L'une des rares et compulsives pages de journal intime que je laisse parfois ça et là :

Demain !


Je te vois demain...
Je stresse. Enfin ce n'est pas du stress, c'est du trac... Mouais... Allons y franco, c'est de la bonne grosse peur là!

Peur de la page blanche, peur de la gaffe, peur, peur, peur... Partout, pour tout... Peur du bonheur aussi, si ça marche...
Ahhhh le SI! Et si c'était vrai! Si tu étais ('es' et 'seras' itou) mon homme! Si ça marchait, du premier coup, comme ça sans accros, sans bavures... Un parfait emboitement de deux âmes (m'enfin, je ne parlerai pas ici des corps voyons)... Une parfaite connaissance mutuelle... ou presque... Ca laisse rêveur, n'est ce pas ?

C'est pourtant simple. Je t'aime et je te veux, depuis le premier jour, depuis notre première conversation. J'étais parfaitement consciente de... de tout, et malgré cela... :o)

Il n'y a pas de Si ! Il n'y a que du réel, du réel proche, très proche...
Allez je me dis Merde! et je vais dormir... Tenter de calmer les battements de mon coeur, tenter d'arrêter d'écouter des chansons tristes... enfin tristes, j'en sais rien, j'ai jamais cherché à comprendre les paroles... chialantes serait plus juste. J'ai le coeur gros.

Arrêter... se reposer, corps et esprits, se réveiller fraîche demain, entendre ta voix au réveil... euh (..zut) en début d'aprèm plutôt, tu sortiras du boulot, tu fileras chez moi, tu auras encore des larmes dans la voix... et je  te serrerai dans mes bras, le soir venu...  Oula, j'étais censée aller dormir... J'y file, dire straits m'accompagne.
 

 Douce et sereine nuit à tous.

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